Le projet interroge l’architecture vernaculaire des granges en pisé. Il s’appuie sur sa forme simple et archétypale : le pignon et son toit à deux pans. Il la manipule, ne conserve qu’un pignon, la déforme, l’accompagne vers une attitude contemporaine et questionne son statut.
Point de choix ici, simplement la tentative d’un accouplement, d’une rencontre amoureuse au milieu des champs. La croyance dans la sensualité comme réponse à une gentrification galopante qui transpose les codes de la ville dans le tissu rural.